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Bonjour, je m’appelle Catherine Proisy

Je suis arrivée chez LEO Pharma en 2017 et après avoir été déléguée médicale, je suis désormais directrice des opérations territoriales.

 

J’ai fait le lancement d'un produit en dermatologie au moment où je suis arrivée. Ça s’est très bien passé, j’étais assez bien dans mon poste, cela me plaisait.

 

J’échangeais beaucoup avec mon manager, qui me demandait si je me projetais sur une fonction managériale. Il me voyait bien dans cette fonction, et c’est quelque chose qui m’attirait, même si ce n’était pas réellement un plan de carrière. Et puis de fil en aiguille j’ai pris une petite mission d’animation en réunion. Quand nous avons fait les séminaires et réunions, j’ai co-animé avec mon manager et une collègue. Nous faisions du training pendant nos réunions pour s’exercer à la communication au quotidien. Je l’ai fait, ça m’a plu, ce qui fait que j’ai accepté cette proposition.

 

Puis en fin d’année dernière, mon manager s’est vu proposer une opportunité pour être directeur du réseau et m’a donc proposé de le remplacer. Je me suis lancée dans les process de recrutement car je me suis sentie soutenue par les équipes. J’ai obtenu le poste suite à plusieurs entretiens et j’ai donc pris en charge la région depuis janvier 2020.

 

Diriez-vous que la mobilité interne est favorisée chez LEO Pharma ?

 

Complètement, c’est le sentiment que j’ai : chaque poste est systématiquement ouvert en interne. J’ai d’ailleurs en tête beaucoup d’exemples de mobilités internes. Ça fait partie de la culture de l’entreprise de laisser place aux gens sur des postes en interne. Je le vois quotidiennement dans les échanges et dans les évaluations avec les managers, une place importante est accordée à l’envie du salarié, à son développement, ses aspirations, les formations qui peuvent être mises en place pour l’accompagner, sur du court et long terme. Est-ce que l’on souhaite se développer sur d’autres missions dans le métier, ou même évoluer au niveau du métier lui-même ? On aborde vraiment ces aspects-là, puis quand il y a des opportunités de postes, un process permet aux gens de postuler en interne.

 

Comment avez-vous été accompagnée dans cette mobilité ?

 

En ce qui me concerne, et ce qui a participé aussi au défi, c’est que je n’ai pas eu de départ de mon manager. Il est resté dans l’entreprise, a évolué lui-même, donc quand il m’a proposé de réfléchir à cette opportunité, je savais qu’il serait toujours là. Peut-être que s’il était parti j’aurais eu de l’appréhension. Le fait qu’il soit toujours là et qu’il me rassure, évidemment ça m’a aidée.

 

Sur un aspect plus psychologique et sur la motivation, l’équipe aussi a été d’une grande aide. Mes collaboratrices m’ont soutenue dans ce projet parce que je les ai informées de cette idée de postuler, cela m’a donc clairement encouragée.

 

Depuis la prise de poste, j’échange beaucoup avec le service RH qui m’accompagne sur tout l’aspect managérial. Ils sont très présents, à l’écoute et vraiment disponibles dès que j’en ai besoin. J’ai également bénéficié d’une formation sur les bases du management.